PROFIL SOCIAL

« Ces individus extravagants peuvent s'intégrer socialement »

                                                                                     Hans Asperger (1938)

EMPATHIE

L'enfant Asperger ne sait pas se mettre à la place de quelqu'un d'autre

L'enfant Asperger présente un déficit d'empathie, c'est-à-dire qu'il a du mal à se représenter l'état mental d'une autre personne. Les enfants Asperger ne sont pas dénués de compassion, mais les mécanismes de l'empathie censés la provoquer sont chez eux déficients.

Il éprouve des difficultés à remarquer la joie, la tristesse, l'étonnement, etc... chez d'autres personnes, sauf lorsque ces états sont exprimés fortement ou de manière stéréotypée (hausse du volume de la voix, pleurs, etc.). L'enfant Asperger présente un double handicap : d'abord son incapacité à détecter les signes non-verbaux, et ensuite, même lorsque ceux-ci sont détectés, sa difficulté à les comprendre en fonction du contexte. Par exemple, un enfant Asperger peut ne pas remarquer que son interlocuteur est triste (premier handicap). Mais même s'il y parvient, il aura de grandes difficultés à comprendre pourquoi, à ce moment précis et dans cette situation, cette personne est triste : est-ce à cause de ce qu'il vient de dire, ou à cause de tel ou tel évènement ? L'enfant n'a aucune certitude, si bien qu'au final, il finit même par douter que la personne soit triste, et par envisager qu'il a mal décrypté les signes qu'elle émettait. Au fur et à mesure du temps et de l'âge, il finit par ne plus du tout prêter attention aux signes non-verbaux, qu'il trouve bien trop difficiles à manipuler.

Il a très peu de spontanéité affective : il n'aide pas un camarade qui est tombé à se relever, ne console pas quelqu'un qui pleure, n'est pas affecté par la tristesse ou la joie de ses proches, semble imperturbable et insensible. Là encore, l'enfant Asperger souffre d'un double handicap : son incapacité à détecter les situations qui exigeraient de lui une réaction (parce qu'il ne détecte pas les signes), et son incapacité à savoir y réagir. Un enfant Asperger qui voit un camarade en larmes comprendra probablement qu'il a un problème, les pleurs étant un signe suffisamment explicite pour qu'il le détecte. Mais il aura beaucoup de mal à réagir à cette situation, parce qu'elle ne fait pas partie des situations sociales courantes qu'il a appris à gérer au quotidien. L'enfant Asperger, qui ne sait pas pourquoi son camarade pleure, considère qu'il ne peut rien y faire. En conséquence, ne sachant pas comment réagir, l'enfant restera aussi impassible que s'il n'avait pas remarqué les pleurs de son camarade.

Il lui est difficile de déduire les intentions des autres personnes. Il ne sait pas distinguer la taquinerie de l'agression, et dans le doute, il est sur la défensive. La situation la plus courante a lieu à l'école : si un camarade donne une tape amicale à l'enfant Asperger, il y a fort à parier que celui-ci ne saura pas s'il s'agit d'un geste complice ou d'une agression, et qu'il réagira en lui rendant la pareille, cette fois de manière agressive.

Il éprouve des difficultés à remarquer la joie, la tristesse, l'étonnement, etc... chez d'autres personnes, sauf lorsque ces états sont exprimés fortement ou de manière stéréotypée (hausse du volume de la voix, pleurs, etc.). L'enfant Asperger présente un double handicap : d'abord son incapacité à détecter les signes non-verbaux, et ensuite, même lorsque ceux-ci sont détectés, sa difficulté à les comprendre en fonction du contexte. Par exemple, un enfant Asperger peut ne pas remarquer que son interlocuteur est triste (premier handicap). Mais même s'il y parvient, il aura de grandes difficultés à comprendre pourquoi, à ce moment précis et dans cette situation, cette personne est triste : est-ce à cause de ce qu'il vient de dire, ou à cause de tel ou tel évènement ? L'enfant n'a aucune certitude, si bien qu'au final, il finit même par douter que la personne soit triste, et par envisager qu'il a mal décrypté les signes qu'elle émettait. Au fur et à mesure du temps et de l'âge, il finit par ne plus du tout prêter attention aux signes non-verbaux, qu'il trouve bien trop difficiles à manipuler.

Il ne pratique pas les jeux de rôle des enfants de son âge (jouer au papa et à la maman, au gendarme et au voleur, etc...). Il n'en voit souvent pas l'intérêt.

Des fois il a beaucoup de mal à comprendre les motivations des personnages d'un récit fictionnel, qui lui semblent obscures. Généralement, les fictions l'ennuient. Il n'aime les livres et le cinéma que dans la mesure où ce qui est présenté a un rapport à la réalité (biographies, documents historiques...) ou à la science (science-fiction, documentaires animaliers et scientifiques...).

Souvent il ne sait pas inventer une histoire. Lorsque son professeur lui demande d'inventer un récit ou une poésie, il n'y parvient pas. Il ne sait pas non plus inventer spontanément une histoire à partir d'un élément donné : par exemple, si on lui montre une figurine et qu'on lui demande d'inventer une histoire qui lui serait liée, il en est incapable et ne comprend pas ce que l'on attend de lui.

SOCIALISATION

PROFIL SOCIAL

L'enfant Asperger éprouve de grandes difficultés de socialisation. Il peut avoir deux profils :

  • Un profil solitaire, dans lequel il passe le maximum de son temps seul, à la fois par choix et par exclusion de ses camarades. L'enfant fuit les interactions sociales, auxquelles il ne comprend pas grand-chose et qui le mettent mal à l'aise.
  • Plus rarement un profil extraverti, dans lequel il passe du temps avec un cercle restreint d'amis, qu'il impressionne par ses connaissances et sa maîtrise du langage. L'enfant adopte alors un comportement intrusif et dominateur. Néanmoins, ces amis le considèrent comme « spécial » et finissent systématiquement par s'éloigner de lui. Souvent, ce type de profil conduit l'enfant à adopter un comportement dictatorial, et à considérer ses camarades comme ses subordonnés.

L'enfant Asperger ne prend pas part aux activités des enfants de son âge, auxquelles il ne trouve pas d'intérêt. Il préfère leur substituer ses propres activités. S'il a un profil extraverti, il tente de les imposer à son cercle de connaissances, avec un succès souvent limité.

Il préfère souvent discuter avec les adultes plutôt qu'avec les enfants de son âge. Il n'est pas rare qu'un enfant Asperger discute avec les professeurs de son école au moment de la récréation, et qu'il ne cherche pas la compagnie des enfants de son âge. Les enfants Asperger ne sont pas fondamentalement antisociaux, mais ont toutes les peines du monde à trouver des personnes susceptibles de les intéresser.

L'enfant Asperger apprécie les activités solitaires : elles lui épargnent le stress lié à la socialisation, au bruit et aux interruptions en tout genre. Chez l'enfant Asperger, la solitude est nécessaire à l'équilibre quotidien. Après une journée passée à l'école, confronté à des situations qu'il peine à comprendre, l'enfant a souvent besoin de se retrouver seul pour se ressourcer.

Il peut nouer des amitiés sincères et réelles avec d'autres enfants ayant des intérêts semblables aux siens. On parle alors d'amitiés « utilitaires », parce qu'elles n'ont pas d'autre objet que l'intérêt commun aux deux enfants. Un enfant Asperger passionné d'informatique peut par exemple nouer une amitié utilitaire avec un de ses camarades, qui sans être Asperger serait également passionné par le sujet. En règle générale, ces amitiés cessent dès lors que l'intérêt d'un des deux enfants diminue ou disparaît.

Les enfants Asperger sont plus enclins à avoir des amis imaginaires. Tous les enfants sont susceptibles d'avoir des amis imaginaires. Ce qui distingue les enfants typiques des enfants Asperger, c'est la place occupée par ces amis : un enfant Asperger peut en effet n'avoir d'amis qu'imaginaires, et rêver l'essentiel de ses interactions sociales.

Certains enfants conceptualisent l'amitié comme une relation de possession, et peuvent développer une grande jalousie.

COMMUNICATION

Il s'agit de la capacité à deviner les intentions des autres au travers de ses gestes ou de ses paroles

L'enfant Asperger tend à couper la parole et à interrompre les autres. Dans le même temps, il ne supporte pas que le même traitement lui soit appliqué.

L'enfant Asperger ne sait pas entretenir une conversation banale. S'il est capable de parler durant des heures de sujets qui l'intéressent, l'enfant Asperger est incapable d'entretenir une conversation sur des sujets banals, pour lesquels il n'a aucun intérêt. Il est étranger aux conversations sans objet, aux ragots, et ne parle que lorsqu'il pense qu'il a quelque chose d'intéressant ou d'important à dire. Il n'appelle pas ses amis ou sa famille pour prendre de leurs nouvelles, et se tait lorsqu'il n'a plus rien à dire, quitte à introduire de longs silences.

L'enfant Asperger a tendance à tout ramener à lui. Les sujets de conversation ont tendance à dévier vers sa personne. L'enfant Asperger est en effet très enclin à parler de lui et de sa vision des choses. Cet égocentrisme se manifeste aussi dans sa manière d'appréhender les dires de son interlocuteur : l'enfant Asperger a en effet une tendance forte à réinterpréter à sa manière (ou à reformuler) les paroles de son interlocuteur, voire même à le corriger en permanence.

ANXIÉTÉ

Le principal objectif de l'enfant Asperger est de passer pour quelqu'un de normal

Il ne va pas spontanément vers les autres et évite généralement le contact social

L'enfant Asperger a généralement un tempérament anxieux pour tout ce qui concerne la socialisation. Il ne va pas spontanément vers les autres et évite généralement le contact social. Il appréhende par exemple de devoir aller faire une course seul, à cause du contact avec les commerçants. Il n'aime pas être présenté à de nouvelles personnes, ni s'adresser à des inconnus : il préférera se débrouiller seul plutôt que demander un renseignement à quelqu'un qu'il ne connaît pas. Lorsque la situation ne lui permet pas de fuir le contact social (notamment à l'école), il masque son appréhension afin de ne pas se mettre en situation de vulnérabilité.

Avant de participer à une nouvelle activité ou de rencontrer une nouvelle personne, l'enfant Asperger va répéter la scène en prenant en compte tous les scénarios possibles. Il peut la répéter en utilisant des figurines, des amis imaginaires ou se mettant lui-même en scène dans un jeu de rôle solitaire. Par exemple, un enfant Asperger invité à une fête peut répéter son entrée plusieurs jours à l'avance. Il peut aussi envisager toutes les situations possibles, et préparer pour chacune d'elles une réponse qui lui semble convenable : comment régirai-je si on m'invite à danser ? Comment réagirai-je si on me demande ce que j'aime faire ? Comment réagirai-je si on m'invite à faire une partie de foot ? Cette technique lui évite de commettre des erreurs grossières. Mais s'il est confronté à une situation qu'il n'a pas prévue, l'enfant est perdu.

Le principal objectif de l'enfant Asperger est de passer pour quelqu'un de normal. Cet objectif est anxiogène, et l'enfant préférera ne rien faire plutôt que de commettre un impair. Les enfants Asperger sont très soucieux de ce qui peut se faire ou non. Ils ont souvent des idées bien arrêtées (et parfois erronées) sur la politesse, la morale, ou ce qui peut être fait en société. Ils attendent des autres la même rigueur que celle qu'ils s'imposent, et ont tendance à mépriser les comportements qu'ils prohibent. Lorsqu'ils ne savent pas comment réagir, ils préfèrent ne rien faire, histoire de ne pas se mettre dans une situation fâcheuse. Par exemple, un professeur a demandé à un enfant Asperger qui avait manqué l'école de rattraper ses cours à partir du cahier d'un autre élève. L'enfant n'a jamais abordé l'autre élève. Quand on lui a demandé pourquoi, il a répondu : « Je ne savais pas si je devais lui dire 'bonjour' ou 'salut' ».

Il est réticent aux traitements de faveur. C'est la conséquence de son souci de normalité. Un enfant Asperger fera ce qu'il faut pour ne pas avoir droit à un traitement spécifique. Les enfants Asperger ne se considèrent pas comme fous, ni comme stupides, mais parfois comme défectueux, au même titre qu'une machine. Ils ont souvent une estime d'eux-mêmes ambivalente, qui alterne entre dépression et prétention. Ils peuvent refuser énergiquement d'être placés dans des institutions spécialisées, de subir un diagnostic ou de sauter des classes. Deux choses motivent généralement ces refus : la crainte de passer pour anormal, situation qu'ils cherchent à tout prix à éviter, et la crainte de devoir faire face à une situation nouvelle (rupture de leur routine). Un enfant Asperger déterminé est capable de rater volontairement ses tests de dépistage, ce qui rend les consultations en tête à tête en cabinet indispensables à l'établissement d'un diagnostic.

Les enfants Asperger peuvent développer une phobie de l'école, parce qu'ils sont souvent pris à parti par leurs camarades. S'ils ont un tempérament solitaire, ils peuvent devenir l'objet de brimades régulières. Les brimades sont relatées par plus de 75% des enfants Asperger. À cause de leur syndrome, ces enfants peinent à distinguer les actes amicaux des actes hostiles, et leurs camarades ne tardent pas à le comprendre et à en jouer. Leur tolérance parfois plus grande à la douleur peut inciter leurs camarades à leur infliger des sévices de plus en plus violents. Par ailleurs, les enfants Asperger victimes de brimades développent souvent des troubles anxieux et des phobies diverses liées à leurs traumatismes, qui sont autant de mécanismes visant à éviter le contact avec des bourreaux potentiels. On sait qu'un enfant Asperger, à cause de son syndrome, peine à saisir les motivations de ses pairs. Lorsqu'il est victime de brimades, cette situation devient autrement plus douloureuse, si bien qu'il ne tarde pas à assimiler l'ensemble des comportements qui lui paraissent étranges (et il y en a beaucoup) à des actes potentiellement hostiles. En conséquence, il n'est pas rare qu'un enfant Asperger développe une forme de paranoïa ou de phobie sociale.

ALTÉRITÉ

L'enfant Asperger a du mal à accepter que les actions de quelqu'un puissent être accidentelles ou délibérées. L'enfant Asperger est en effet conscient de sa maladresse avec les autres. Certains des enfants Asperger déploient des efforts considérables pour tenter d'être les plus normaux possibles, et font preuve d'une grande intolérance quand ils décèlent chez les autres ce qu'ils se refusent à eux-mêmes. Parce que leur vie tend à ne laisser aucune place à l'imprévu, ils n'acceptent pas facilement que les maladresses qu'ils décèlent chez les autres puissent être involontaires. Là encore, ils prêtent aux autres la même droiture que celle qu'ils s'imposent

Il évalue toujours le comportement des autres à partir de son propre point de vue.

Il ne supporte pas la pluralité des opinions, et ne comprend pas qu'une situation puisse donner lieu à plusieurs réponses différentes et également acceptables. Il a notamment beaucoup de mal à accepter qu'une opinion différente de la sienne puisse être tout aussi valable. Lorsque plusieurs opinions coexistent, il tente au mieux de les concilier pour générer une opinion unique. Il ne s'explique pas que les autres n'aient pas la même tendance.

SOLITUDE

L'enfant Asperger a une tendance marquée à résoudre ses problèmes seul

L'enfant Asperger a une tendance marquée à résoudre ses problèmes seul, et évite de demander de l'aide aux autres. Il a en conséquence tendance à faire régner sa propre loi et ses propres conceptions. Il s'en remet rarement aux adultes pour trancher un litige, appelle rarement à l'aide, et tente de se débrouiller seul avec plus ou moins de succès.

La chambre de l'enfant est considérée par lui comme son refuge. C'est un lieu sacro-saint.

L'enfant considère, souvent avec raison, que s'il se comporte parfaitement et s'il ne commet aucun écart, le professeur et les autres élèves le laisseront en paix.

Il a souvent besoin d'une solitude silencieuse dans la cour de récréation pour se ressourcer.

L'enfant Asperger peut développer une capacité à disparaître au sein d'un groupe, notamment à l'école.

VIOLENCE

Les jeunes enfants Asperger peuvent manifester une violence précoce vis-à-vis de leurs proches, en réponse à des sons déplaisants ou à certaines contrariétés.

Les enfants Asperger peuvent mimer les actions des enfants qui les harcèlent lorsqu'ils jouent avec des frères et sœurs plus jeunes à la maison. Toutefois, l'enfant peut ne pas être conscient qu'un tel comportement est inacceptable, et peut simplement imiter le comportement dont il a été l'objet dans ses relations avec ses camarades, ou répéter avec ses frères et sœurs les actes de harcèlement vécus à l'école, pour essayer de comprendre ce qui peut conduire quelqu'un à se comporter ainsi.

Selon Tony Attwood : « J'ai discuté des incidents de harcèlement durant l'enfance avec des adultes Asperger, et ai noté qu'ils avaient une difficulté considérable à comprendre pourquoi ils en étaient la cible si souvent, ainsi que les motivations des enfants qui les tourmentaient.

Le principal moyen qu'ils utilisent pour tenter de le comprendre est de rejouer les évènements dans leur tête de manière répétitive.

La personne revit, sans les résoudre, les injustices passées. Cela peut être une expérience quotidienne, même si les incidents se sont produit des décennies plus tôt. Alors que l'évènement se répète dans leur tête, les émotions qui lui sont liées sont à nouveau expérimentées. »


SEXUALITÉ

SPÉCIAL ADOS

Les adolescents Asperger manifestent une curiosité certaine pour la sexualité

La puberté est une étape importante du développement sexuel, et qui comprend de nombreux aspects : émotifs, hormonal, social, interpersonnel et physiologique. La période de l'adolescence est très importante car c'est à ce moment-là que l'estime de soi se construit.

Vers l'âge de l'adolescence, un phénomène de plateau est observé : les adolescents Asperger atteignent rarement la maturité d'un jeune adulte. Ils ne vivent pas les mêmes expériences que les adolescents en général, que ce soit au niveau de l'identité de genre (sentiment d'appartenance à son sexe), ou des interactions avec les autres adolescents, et plus particulièrement avec le sexe opposé ».

Chez les adolescents Asperger, les stéréotypes liés à l'adolescence peuvent être vécus différemment. Par exemple, le désir de joindre un groupe d'amis est moins pressant, et les critères de la mode (vêtements, musique, attitudes, code de langage, etc...) ont un impact beaucoup moins grand ».

Malgré tout, les transformations hormonales qui ont lieu chez les adolescents Asperger peuvent les pousser à s'intéresser à leurs pairs et à manifester de la curiosité en matière de sexualité et relations amoureuses. Deux types de réactions peuvent être observés : soit l'adolescent Asperger n'est pas influencé par son entourage, ou au contraire, il va tenter d'intégrer les règles et attitudes sociales, mais souvent de façon littérale et inappropriée.

En effet, les personnes Asperger « éprouvent des difficultés à « lire » et comprendre les intentions et les émotions fines et complexes des autres, ainsi qu'à communiquer efficacement leurs pensées et sentiments intimes » (Tony Attwood).

Textes et références

Le syndrome d'autisme Asperger (TSA : Trouble du Spectre de l'Autisme) : Diagnostic, Décryptages, Neurofeedback par Ruby VILLAR-DOCUMET


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